UFC QUE CHOISIR DE LA MARNE ET DE L'AUBE

MIEL Pour une réelle traçabilité !

            Alors que la production française de miel a considérablement chuté et ne permet pas de satisfaire la consommation nationale, de plus en plus de miels mélangés, provenant de divers pays, fleurissent dans les rayons mais avancent masqués quant à leur origine. Face à la multiplication des fraudes, et soucieuses de garantir aux consommateurs une information loyale et pertinente, l’UFC-Que Choisir et l’Union nationale de l’Apiculture française réclament la mention obligatoire des pays d’origine pour les miels mélangés.

Les miels mélangés importés : 75 % des miels consommés en France
Victime de l’impact des pesticides, de prédateurs comme le varroa ou le frelon asiatique, du bouleversement climatique et de la réduction des ressources mellifères, la production française de miels qui représentait 32 000 à 33 000 tonnes en 1995 s’est effondrée pour avoisiner les 10 000 tonnes en 2016 et en 2017…   Les miels d’importation représentent aujourd’hui plus de 30 000 tonnes soit les trois quart des miels consommés dans notre pays. Ces miels proviennent principalement de Chine, d’Ukraine, d’Argentine, de Hongrie, d’Espagne, d’Italie.

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31 octobre 2017

Produits cosmétiques (caméra cachée). Mais où sont les listes d’ingrédients ?

Nous avons le droit de savoir quels ingrédients renferment les produits cosmétiques que nous souhaitons acheter, c’est la loi. En pratique, c’est trop souvent impossible, soit parce que les listes détaillant la composition sont illisibles soit, plus grave, parce qu’il n’y en a pas. Absentes sur l’emballage, on ne les trouve pas non plus en rayon comme le prévoit pourtant la réglementation. Au fil de nos visites dans une dizaine de magasins, nous n’avons jamais pu les obtenir et les vendeuses ne savent même pas qu’elles sont censées les fournir aux clients.

« Même avec mes lunettes, c’est absolument impossible. » Ce sont les étiquettes des produits alimentaires que Vytenis Andriukaitis, commissaire européen chargé de la santé, évoquait en mars dernier, reconnaissant ne pas arriver à les lire. Que doit-il dire alors de celles des produits cosmétiques ?

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31 octobre 2017